Toys In The Attic

[Playlist]

Salut mes Zigos.

Encore une petite excursion du soir au pays du rock. Ladies & Gentlemen, ouvrons la boîte de Pandore, et laissons s’échapper le souffle voluptueux d’Aerosmith.

MaD fait tellement la grimace qu’on croirait un Shar Pei. Help! Elle me fonce dessus prête à mordre. J’enlève rapidement mes doigts du coffret avant que ne se referme violemment le couvercle. Elle tourne les talonnettes, on la rattrape ou pas?

J’essaierais bien de l’appâter, rien n’est impossible, mais risquer de finir en poussière ou pendue par les pieds au fond de sa caverne… Dois-je vous rappeler que j’me suis retrouvée dans la neige? Ou pas, donc.

Reprenons. Ils ont légèrement vieilli gagné en maturité mais restent inévitables, à commencer par la pure merveille dont je vous rebats les oreilles à chaque occasion (la preuve). Et petit aparté pour les jeunots : vintage 1986 soit 30 années lumière auparavant, matez les pompes de Joseph et Darryl, ça vous rappelle rien?

Figurez-vous que j’ai aussi gagné en sagesse (on va dire ça comme ça) et c’est pas la peine de ricaner. Toujours est-il que j’ai la mémoire qui flanche et je me souviens plus très bien comment j’suis tombée sur ce nouveau jouet.

Un beau jour, ou était-ce une nuit, dans un canap’ je mourrais d’ennui (et quand je m’ennuie j’ai faim) et là, j’aperçois, dans la coupe sur la table, deux pommes empoisonnées, lascives et sensuelles, à croquer sans aucune modération.

Alors pourquoi faut-il que vous écoutiez Aerosmith? D’abord, pour les plus réfractaires d’entre vous, parce qu’à l’instar de Bon Jovi (par exemple), c’est du rock (on est d’accord) mais blues et glam, donc à la portée de toutes les oreilles. Vous ne risquez aucune fissure au casque même à donf.

Hum, enfin presque. Nan, mais partez pas, revenez, c’tait pour déc***er. J’voulais pas vous réveiller. Savourez plutôt ces parfaites berceuses sonorités.

Je parie que vous n’avez pas traversé les 90’s (j’ai dit on arrête de rire les jeunes. D’ailleurs si vous avez moins de 18 ans, vous ne devriez pas être là) sans avoir fredonné au moins un de ces deux titres,

ou celui-ci, qui fut, pour le coup, interstellaire!

Donc résumons : Nous avons là du rock, de la ballade, du sensuel, du sulfureux, voire du libidineux, un brin loufoque. Forcément, c’trop bon!

Et rien ne nous empêche, ladies, de vous délecter allègrement des déhanchés sexys de Tyler. Bon… Faut juste pas avoir peur de se faire avaler toute crue (quoique) ou de faire craquer les coutures (Woho!).

Perso, ma préférence va, comme d’hab, au guitariste et Perry est loin d’être un thon.

J’vais essayer de retrouver MaD. A+

Cheers!

MeloP ζ

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