#Limit

Hello mes Zigos! MaD a décidé de me poser des limites, ce en quoi je suis intérieurement morte de rire. Ça n’a jamais été mon truc les limites.

C’est surtout cette notion cachée de restriction, d’interdit et comme ce truc résonne bizarrement en moi, comme les mômes, j’ai plutôt tendance à vouloir le contraire.

Alors je dépasse et j’aime en faire des tonnes, ça irrite les braves gens plein de raison qui respectent les limites.

Quel serait le choix? L’obéissance, accepter les ordres sans sourciller?

Ce qui me mènerait automatiquement à une frustration. Tout bonnement parce que ce n’est pas ce dont j’ai envie.

Attention, ma liberté s’arrête où commence celle des autres, je ne suis pas non plus ingérable mais je vais où bon me semble et je fais ce que j’ai envie.

Est-ce que je me plante? Oui, parfois mais se limiter, par peur, souvent, peur d’entreprendre, de décevoir ou de se décevoir, brider ses rêves, etc… revient à se faire du mal et vivre avec des regrets, pire, des remords. Donc limites? No way, allons voir plus loin.

One prayer, one wish, Step out off the edge, it’s worth the risk. Life is limitless, limitless. À un petit truc prêt 😶 mais vous avez saisi.

Puisque nous sommes dans les confidences, j’avoue je me pose (moi et personne d’autre, grosse différence) deux limites.

1/ Toujours, toujours, rester les pieds sur le sol (on est fait en ce sens)

2/ Ne jamais, jamais porter de rose (ça ne me va pas au teint)

Sinon, même mes parents n’ont pas réussi, pourtant ils ont essayé.

Je le dis, je le répète : Ni Dieu, ni Maître.

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