A ma décharge, je souffre d’un mal aigu chronique, sorte de marteau divin inséré au tréfonds de mes os. Ma sorcière bien-aimée pourrait me débarrasser de ce sort mais j’crois que j’suis pas prête au sevrage… 5 mn de temps à tuer et devinez… j’me suis pas arrêtée à mi-chemin, impossible de résister à l’achat compulsif.
Dieu que cet album est délicieux. En même temps, Cornell pourrait me chanter Maya l’Abeille que je trouverais ça terrible (mon cas est désespéré). Sur ces entrefaites, amateurs de guitares éclectiques et de voix rocailleuse (horriblement réducteur, j’ai honte), abandonnez-vous. En écoute là. Moi j’ai encore pris un coup de rame.
MeloP ζ