Même si je ne me suis pas encore dégusté, comme il se doit, le documentaire (ça ne saurait tarder), j’ai déjà épluché la bande son, frénétiquement et en tous sens.
Sieur Grohl par sa propension s’est imposé, sans complexe (s’il lui en restait). Ressort donc un produit en or où chaque talent apporte magistralement son inclination.
MeloP φ