I am an anti everything man / A scab on the lips of the lord
Qui dit morosité sociale, politique et climatique, entraîne forcément, à la demande de mon centre de contrôle : maxi-bouffe calorique et méga-son lourdingue ou comment se gaver (avant les fêtes, un comble) de gros barouf non-stop. J’vais encore me faire des amis et perdre quelques lecteurs au passage (MaD la première) mais tant pis, j’assume.
Parfait remède pour s’échapper quelques minutes de ce monde stupide (on a des solutions mais on est dans l’incapacité de les appliquer), taciturne (c’est la crise) et sadique (températures inférieures à 20°)?
– Un son ensorcelé et ensorcelant, un délicieux mélange haut en couleur.
– Des guitares saturées, de la batterie endiablée, de la puissance vocale, du cri primal, le tout prêt à massacrer le meilleur double-vitrage, mais canalisant les pensées négatives pour les extraire manu militari (c’est ça, l’île déserte (faudrait gagner au loto) ou devenir serial-killeuse (j’hésite pas des masses)).
– De l’épais tumulte insinuant ses « délicates » racines fantomatiques dans chaque recoin de mon organisme.
Prêtez-vous au jeu, j’vous assure que ça va l’faire. Faites-moi juste le plaisir d’écouter au moins un titre ou de regarder les vidéos, histoire de recenser les changements capillaires de Corey.
MeloP ζ