DARK, dark dark dark… nan mais comment elle nous plombe le dimanche, la mère Melo, avec son mot compte triple. Mille millions d’mille blattes, on va trop grave leur flanquer l’cafard, aux followers! Cafar…capharnaüm? Oo. Obscurément vôtre, son Altesse en Personne, oh ben oui, tout d’suite, je vais te me l’exécuter, moi, le post dominical.
Je bondis sur la souris, puis plante – scriiiitch – mes griffes dans l’pianoctet. Direct une fichue compote se met à bouillir sous ma cafetière, parce que Dark, entre les rondelles de mon casque, ça donne :
Une fois le mélange glissé sur vos platines, y a tout le thème qui s’écrase sur ma face, noie la risette, broie la moue, étouffe l’étincelle.
Le côté sombre de notre civilisation a maintenant presqu’entièrement ressurgi, régurgitant ses miasmes. Une galette s’en empare pour l’embrocher, dépose une liasse de décibels sur la platine.
Preux chevaliers des ondes, merci. Pourtant la blessure se rouvre, avec pour titre le blase d’un avion, et, en mémoire, cauchemar, cette sordide bombe nommée Little Boy :
Il me faudra suivre la voix d’un vieux loup solitaire pour panser ma colère, mais pas seulement.
J’avise un ancien flacon dans lequel flottent de minuscules pétales. Je retire le bouchon. Le parfum s’échappe, s’évapore en volutes veloutées et venimeuses.
Le temps s’est assombri, on dirait. Quelque part, entre mirettes et palpitant.
Lampée et lampe de poche.
I’m not afraid of the dark babe 😉 http://youtu.be/mTNwp_LJOpU
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No, you’re not OO) c’est parce que tu glow, sweet Melo
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