Sale temps pour MaD, soirée pourrie en perspective. Dommage! Et oui, j’donne de ma personne pour la faire râler et l’entendre persifler.
Ce qui m’amène à dégainer l’enfant spirituel du Godfather of Soul, la tempête tropicale de 2010, l’ouragan de 2012 et (en ce qui me concerne) LE cyclone de 2014.
Un matin type chez Melo? Le genre de matin où la tête a perdu tout sens d’orientation et où il faut s’pousser pour aller bosser (qu’on me donne l’envie, l’envie de… bouger).
Un seul remède. Provenance directe d’Honolulu, la crème des réveils et pourtant j’en ai testé des tonnes. De quoi me tirer rapidement de ma léthargie et faire sur-le-champ frétiller mes orteils.
Allez debout! Derniers étirements… J’arrête (à regret) de faire ma paresseuse.
Je m’enfouis dans la capuche de mon peignoir pour empêcher la lumière de me cramer la rétine (j’ai du sommeil en retard).
Une embardée dans la garde-robe. Toujours la même histoire, j’ai rien à me mettre (pff). Le reste tient du rituel pour contrer le temps qui s’égrène trop vite à cette heure matinale. A sweet kiss pour mon homme (sans le réveiller sinon j’vais vraiment être à la bourre).
Engloutissement d’une sévère dose de caféine. La lune s’est invitée à la fenêtre et je pars dans les songes, les yeux dans le vague. J’y serais encore si la pendule ne me faisait pas illico atterrir dans la triste réalité. Faut accélérer! Entrée dans la salle de bain et passage fatidique devant le miroir.
Si j’tenais la personne qui m’a balancé une bombe dans les cheveux. Un aller-retour dans la douche, un ravalement de façade, quelques grimaces à la glace… J’suis prête.
Young (à peu près autant que Snoop), wild (toujours) et free (plus que jamais).
MaD? Allons faire danser des stades 😉
Cheers.
MeloP ζ