Hello mes Zigos. Ce soir, je reste dans la reprise. Notez que j’ai parsemé ce post de ®, rassurez-vous, je n’ai pas perdu la boule, c’est pour cliquer dessus, si l’envie vous prend de revoir les titres originaux. Inutile de vous préciser que MaD, ça m’étonnerait 🙂
Je l’avais promis, soyez les bienvenus dans l’univers de Big Mike Geier, immense enfant de la Balle, qui surgissant de la gardine, nous régale avec le répertoire d’Elvis.
Depuis 2013, une seconde peau: il devient Puddles Pity Party. ®
Il revêt l’uniforme du Pierrot et le maquillage du clown blanc. Il coiffe sa couronne, enfile ses gants et, traînant les pieds, sa solitude et sa misère, il encense encore un peu plus Leonard Cohen. ®
Alors… Comment dire… Bon, oui, je suis un peu (beaucoup) coulrophobe. Ça remonte à l’adolescence… Pas à cause du film m***ique (et j’ai pas voulu dire mythique, d’où les *), j’adore Tim Curry mais je le préfère travesti dans le Rocky Horror Picture Show que grimé dans It. Là, merci, mais non merci. Grande fan de King, j’ai lu le bouquin (la maline. Des fois, j’me collerais des baffes) et du coup ça me picote l’échine dès que j’entraperçois un nez rouge. ®
Cependant, je tombais, les yeux enfarinés, à genoux devant ce géant triste (environ 2m à ce qu’il paraît), un soir de pleine lune. ® Et même pas la trouille 😉
Le chapiteau, sous lequel il officiait, était alors dirigé par un certain Scott Bradlee, et le PostModern Jukebox employait si divinement ce saltimbanque. ®
Quel charivari! La sarabande, rapide ou nonchalante, était acrobatique et exécutée avec brio. Sans pression, sûr de son interprétation. De là vient mon envie de fouiller le cursus de ce colosse aux pieds d’argile. ®
Il ravigote mon âme d’enfant avec ses grosses chaussures et sa valise en carton. Je pourrais le regarder des heures, ®
l’écouter des jours entiers. ®
Peu importe le style musical, la chanson originale, tout avec lui prend une autre saveur. ® ®
Un goût de Paradis. ®
Belle soirée et belle nuit mes Zigos. ®
MeloPζ