¡Olé, my wunderbar Ziknautes! Qu’on se le dise (et se le répète si jamais) je suis dure (blindée) de la feuille (entonnoir) et mon rythme (de plante grinçante) avoisine la vélocité d’un escargot et la constance d’un paresseux (just call me MaD Sloth), notamment lorsqu’on parle musique, et surtout surtout surtout si on a décidé de m’en faire rentrer dans les conduits.
Ben, là, comment j’ai craqué mon bra, a wonder! J’ai essayé de faire des chorus en apnée avant d’y renoncer pour plutôt me passer la succulente galette en boucle.
Et puis… j’me suis mise à dévorer :
Mein Schatz, Lord Iron Man, a explosé de rire. Il a un peu pleuré aussi parce qu’il avait bien tenté le coup un soir, tout en douceur, avec courage, un single à la main, mais j’avais refusé net, de ma plus tendre voix de crécelle rouillée. J’étais…
Little Simz, elle, est prête depuis longtemps :
Y a même du joli p’tit clip griffonné. (Si la vidéo n’apparait pas, cliquez sur le lien, ça vaut le détour)
What a flowwww!
Vous v’nez? Perso, j’replonge les yeux fermés :
Ce qu’il y a de bon quand on change d’avis après un non catégorique, c’est qu’ensuite il ne subsiste plus aucun doute, juste une belle vibe sur laquelle il n’y a plus qu’à se laisser porter :
Y en a qui hésiteraient encore à s’trémousser ?
À votre avis, que ressentir envers Herr Iron Man sinon une immense gratitude (que j’adresse aussi à ma precious Lady Pimprenelle) :
Encore :
Cheers,
MaD
and again
and again
and again