1986 – Master Of Puppets
C’est là qu’on s’amuse une première fois, mes Zigos et que je me rends compte que le top10 est juste… impossible. J’me connais, on va arriver à 15 ou 20….
Bref… Master Of Puppets restera à jamais le premier joyau entendu et le début d’un attachement indéfectible.
Mais, mon titre des titres, celui que je choisis d’écouter ad vitam æternam, celui sur lequel je partirai tout comme Cliff, reste le nébuleux Orion. Un grand merci, au passage, à Robert Trujillo, sans lequel, je pense, il ne serait pas joué en live.
Orion, que l’on retrouve aussi dans Through The Never en ultime incarnation du brio de Burton.
MeloPζ