After silence, that which comes nearest to expressing the inexpressible is music – Aldous Huxley
Bienvenus sur le parking MP, départ immédiat, destination nouvelle rétrospective. Année choisie totalement au hasard mais exaltation complète. Qu’on le veuille ou non, c’est une charnière, le chambardement arrive. Il y aura un avant et un après!
Prenez place à bord de ma Mustang rutilante, car comme le disait l’honorable Emmett Brown – « faut voir grand dans la vie, quitte à voyager à travers le temps, au volant d’une voiture, autant en choisir une qui ait d’la gueule! ». Accrochez vos ceintures, nous atteignons les 88 mph… Zouff.
Téléportation réussie. Aidée par la baguette magique d’un vieil ami, me voilà, choucroute crêpée, drapée dans une attrayante robe bleue, talons aiguille assortis, enveloppée par le cashmere rassurant de mon court manteau (presque de la science-fiction).
Oh je voudrais tant que tu te souviennes… ce bel après-midi, flânant, square Chautemps, abritées par les arbres parés de couleurs chatoyantes, insouciantes, observant moqueusement nos congénères.
Nous guettions l’arrivée des saltimbanques, assises face au Théâtre de la Gaité avec notre amie Madeleine. Objectif : guincher toute la nuit, avec le secret espoir de croiser le mystérieux et incroyablement séduisant Thomas ou nous plonger dans les yeux inoubliables de Pierre.
Mais le karma, c’est le karma. Et même dans un espace temps lointain, le sort s’acharne. Ce fut rencontre avec le pitre de service et une bande de coincés espérant nous séduire (par chance, ils se sont rattrapés par la suite). Au Secours!!!!
C’est décidé, retour rapido, surtout après avoir croisé la route de l’autre illuminée, emportant quand même un message, ma foi pas désagréable.
En avant ZigomaD, je sens le commentaire méchant méchant se profiler!
MeloP ζ